vendredi 1 mai 2009

Déjà un mois!

Eh oui, il y a un mois, notre session s'achevait! Avouez qu'on a tous fait du chemin depuis notre départ de Jonquière. Sans pour autant dénigrer notre formation, force est de constater que rien ne vaut la réalité d'un milieu de stage.

De mon côté, ça se passe relativement bien. On a modifié mon horaire pour les deux dernières semaines. J'arrive désormais à la station à 9h30, on m'assigne un sujet, qui fait l'objet d'une nouvelle avec clip ou d'un topo, et je collabore d'une façon ou d'une autre à l'émission du retour. Par exemple, mardi, j'ai fait un petit montage sur la couverture médiatique entourant la grippe porcine (maintenant grippe A!) et mercredi, j'ai effectué un petit vox pop. Rien de bien compliqué mais qui fait changement.

Je ne pense pas assister à l'émission du retour tous les jours d'ici la fin du stage (un gars se tanne à un moment donné), mais je suis tout de même content de voir comment une telle émission se prépare et comment ça se déroule en studio.

Vendredi, étant donné que je devais quitter tôt (rendez-vous pour le Vietnam oblige - ça s'en vient si vite!), j'ai retrouvé mon horaire matinal. Ma couverture de la conférence de presse du Festivoix la veille m'a permis de faire une chronique culturelle en ondes, ce que j'ai bien apprécié. D'ailleurs, je ne sais pas si c'est parce que le week-end s'en venait, mais je ne me suis jamais senti aussi en forme et motivé de me lever tôt!! Pour être franc, je suis déjà nostalgique de mes après-midi de liberté. En fait, je vis plus ou moins facilement le fait de revenir à la maison à 18h au lieu de 13h... mais c'est la vie.

Anecdote cocasse (désolé pour ceux ne faisant pas partie du groupe de Michel, vous trouverez ça long)

Je ne peux m'empêcher de vous raconter la venue de Michel en sol trifluvien (surtout que Marie-Ève n'a rien dit à ce sujet). M. Laprise nous a donc rencontré mardi. En avant-midi, il devait me visiter alors que le tour de Marie-Ève était prévu pour l'après-midi. Sa journée semble avoir bien débuté puisqu'il était particulièrement de bonne humeur lors de son arrivée à la station. Quand est venu le temps de dîner, j'avais convenu avec Marie-Ève de l'appeler pour que nous puissions aller la chercher. Malheureusement, elle n'a pas reçu mon courriel si bien que nous nous sommes rendus pour rien à l'Hebdo. Pas de problème, Michel ne s'en formalise pas trop. Nous retournons donc au centre-ville, nous croisons M-È sur le trottoir (qui ne nous voit pas), je sors de la voiture en courant pour la rejoindre et crie à Michel de se stationner sur une rue transversale. Il pleut. M-È et moi se rendons au restaurant retenu, dont j'ai mentionné le nom et l'adresse à Michel, et nous attendons. Quelques 5-10 minutes plus tard, alors qu'il tombe maintenant des clous, quelle surprise de voir Michel qui revient, toujours pas stationné,
sacrant et demandant où il peut bien garer sa voiture. Il la laisse finalement en face du restaurant, où un parcomètre indique clairement que la durée maximale est d'une demi-heure (au tarif d'1 $), mais y dépose 4 beaux $. Heureusement, le repas était excellent (bien que M-È ait reçu le mauvais plat).

En espérant que Michel gardera un bon souvenir de Trois-Rivières.

Profitez tous de votre dernière semaine!

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